





Ces fameux kilos émotionnels liée à l’estime de Soi, notre perception de notre environnement, une carrence ou dépendance affective, … où l’on finit par « manger ses émotions » …
M’ont fait atteindre le poids de 125 kilos …
Passant par des phases, tantôt de contrôle excessif où je ne m’autoriser aucun plaisir, RIEN et j’étais même fière d’être capable de me contrôler, de me contenir … à des phases de pulsions boulimiques … qui elles, pour le coup, étaient incontrôlable ! Ce qui en plus de me faire culpabiliser, me conforter dans la croyance erronée (ou limitante appelle les comme tu veux) d’être « bonne à rien » puisque je ne suis même pas capable de me gérer !
Je n’avais pas de « comportement compensatoire » comme disent les toubibs : contrairement à la boulimie « classique », je ne me faisait pas vomir … je souffrait d’hyperphagie boulimique.
L’hyperphagie boulimique c’est rester plantée, seule, devant son frigo ouvert et manger frénétiquement et surtout RAPIDEMENT, vite, très vite tout ce qui nous tombent sous la main…

C’est manger le nutella à la petite cuillère, là encore debout devant le placard…
En essayant de se convaincre que tout va bien …
L’hyperphagie boulimique c’est s’enfermer dans nos croyance erronées…
Ou plutôt, rendons à César ce qui est à César : jusqu’au jour où mon mari (à l’époque) à eu cette petite phrase aux répercussion énorme !
Remettons nous dans le contexte : nous avions une boulangerie avec toute la charge de travail mentale et physique que cela demande. Nos relations de couple sont au plus bas, je suis alors convaincu d’être nulle et pas asser bien pour mérité le bonheur … Je suis également convaincu que le comportement rabaissant et fuyant de mon mari et normal et mérité … Alors, pour tenter de lui plaire, je m’inflige à nouveau un régime alimentaire draconien … un de plus sur la longue liste de mes régimes !

Et bingo ! Je parvint à perdre 20 kilos au prix de gros effort : un régime sans sucre en travaillant et vivant dans une boulangerie !
Pour l’entendre me dire :
Cette phrase résonne encore en moi aujourd’hui…
Elle a été l’élément déclancheur de nombreuses prise de conSCience…
J’ai pris conscience du « moi véritable », de mes désirs, de mes besoins et de la nécéssité de me faire confiance, de reprendre le pouvoir sur ma vie.

Ma première décission à donc été de quitter mon rôle de victime en prennant la responsabilité de mes choix… l’un des choix les plus dur fût de quitter mon mari et toute la « zone de confort » qui aller avec : la sécurité financière et le statut social ….
Aujourd’hui, j’ai conSCience que l’être compte davantage que le paraitre et je remercie chaque jour cette « petite goutte d’eau qui a fait déborder le vase » et qui m’a permise de « voir » ce que je ne voulait pas « voir » …
S’aimer soi-même, je n’y serai pas arrivée sans l’aide de mon entourage et … de la sophrologie !
Alors j’ai repris la voie de l’esthétique et le chemin de l’école pour me former à la sophrologie.
Aujourd’hui thérapeute, j’aide les femmes (et les hommes) à prendre conSCience de leur valeur, leur beauté, leur lumière … à décoder les fameux « kilos émotionnels » et quitter un schéma de dépendance affective avec panache et bonne humeur pour retrouver confiance en soi et en la vie.
